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Galeam

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Civilisation d’inspiration : Grèce Antique, Rome Antique

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Régions de Galeam

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Région Alessandria :

La région à la chance de profiter des grands vents marins soufflant sur les grandes étendues herbeuses ou cultivées, il y fait une température relativement constante et tempérée bien que ces températures descendent un peu en hiver, surtout au nord où il neige parfois.

Les habitants récoltent des céréales (blé, froment, orge), des olives afin de produire de l’huile, et élèvent des chèvres pour leur lait dont ils font des fromages. Ils préparent tout cela afin d’en faire des galettes ou de la bouillie, plat principal des pauvres et classes moyennes dans tout Galeam. 

Le territoire a su garder d’anciennes traditions, les grands combats de gladiateurs étant principalement réservés à des rites funéraires importants ou à des fêtes religieuses. Les auxiliaires de la légion venant de là ont encore des armures anatomiques de bronze ou de cuir, des linothorax, et de grands heaumes à nasal ornés d’une crête en crin de cheval ou de plumes colorées, se battant avec des lances longues de 2m30 et des boucliers aspis ronds où est peint le symbole de leurs villages ou cités.

La cité d’Antalya et ses alentours, en plus de former l’élite de la gladiature qui sera vendue dans tout le pays, possède pour ses citoyens une éducation très guerrière, les nouveaux nés malades ou mal formés sont jetés du haut du mont Thanasima. Les jeunes gens doivent recevoir une éducation militaire et survivre à de rudes épreuves selon la tradition de l’Atsali.

 

Région d’Aquila :

Le mont Thermopilos est écrasé par des températures très chaudes l’été, en revanche, l’hiver, la capitale Samarobriva est très souvent sous la neige. Vers les côtes, le climat est toujours chaud mais se maintient toute l’année, les températures ne tombant presque jamais dans le négatif.

Cette région est sans doute la plus avancée de Galeam. Toutes les routes de la république sont pavées et des patrouilles les sillonnent, les vas et viens de caravanes et de voyageurs sont incessants, les temples nombreux, les chantiers maritimes immenses construisant des Trirèmes de guerre toujours plus grandes. 

Le commerce y étant très développé, les sénateurs, légats et autres hauts placés ne se privent pas pour faire importer de luxueux mets des quatres coins du monde connu, comme la langue de flamant rose farcie, la cervelle de paon ou de faisan, la laitance de murène, foie gras, etc…

Les villes et grands villages sont, pour le peuple, forts d’endroits nommés Thermopolium, sortes de restaurants rapides cuisinant des plats simples conservés au chaud dans des jarres.

Le sud est composé de quelques fortifications contre Rahotep, de camps de Stenos plus ou moins amicales, et de villages en bordure de désert.

De nombreuses installations de la Légion sont implantées dans tout le territoire.

La tenue classique du légionnaire se compose d’une Lorica Segmentata ou Hamata, d’un casque à nuquière avec protège-joues et oreilles dégagées pour entendre les ordres des supérieurs, d’un scutum, d’un pilum, d’un glaive, d’un pugio et d’une besace ou ils ont leurs affaires de rechange et d'hygiène. 

 

Région Skotadi :

La région est sûrement la plus inhospitalière de Galeam. Bien qu’il y fasse bon l’été, les hivers y sont très rudes, obligeant les légionnaires et la population à se vêtir de chauds vêtements en laine, en cuir et en peau.

Avec la présence de la consule Locuste Vespillo, les vampires sont nombreux sur le territoire, et de ce fait les esclaves aussi afin de les nourrir.

La présence de camps militaires et de fortins est considérable, le territoire étant sujet à de nombreuses tentatives d’invasions Vezeloises, que cela soit par le bassin de Rouvroy, la mer ou par le mur.

De ce fait l'armement de siège et de défense est varié : balistes, onagres, scorpions, béliers, tours de siège. Il existe même des légionnaires spécialisés dans la sape.

La Légion utilise également des tribuli pour empêcher la charge de la cavalerie, des fosses et des pieux. 

Les rares habitants qui ne font pas partie de l’armée sont des agriculteurs, des prostitués dans des lupanars, et des marchands faisant le commerce de quelques denrées exotiques.

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Climat et environnement

Galeam est une région du monde assez montagneuse dans ses terres, le climat pouvant parfois y être assez aride, notamment au Sud. Toutefois, l'air marin la rend plus verdoyante sur les côtes. En son centre se trouve le Mont Thermopilos sur lequel est bâtie l’immense capitale Samarobriva. Un temple d’Artax surplombe cette cité de marbre blanc. Même si cette structure domine toutes les autres, chaque dieu peut trouver son temple en cette ville, comme sur l'ensemble du territoire

 

Histoire

Galeam est un pays relativement jeune, fondé par les anciens colons des îles de Kykladès qui découvrirent progressivement ces nouvelles terres tout en restant rattachés administrativement à leur pays d’origine.

Le cataclysme provoqué par Hohentwiel poussa les colons à réfléchir à leurs liens avec Kykladès. Quelques années plus tard, sous l’impulsion d’un homme, Galeamus Ier, ils s’unirent et proclamèrent leur indépendance, traquant ceux qui s’y opposaient, coupant toute relation avec leurs origines. Ainsi naquit l’Empire de Galeam.

Cette nouvelle puissance, une fois sûre de son indépendant, partit bien vite à la conquête de nouveaux territoires, au Sud tout d’abord, déclarant la guerre à Rahotep. Le royaume du Sud céda du terrain. Les guerres ne cessèrent jamais réellement entre les deux pays, les frontières de leurs territoires se modifiant au fil des différentes batailles les opposant.

Galeam attaqua également Vezelay, parvenant à conquérir le goulet d’étranglement entre les deux pays, pouvant alors s’assurer le contrôle absolu de cette partie du territoire en y bâtissant le mur d’Hélénos, empêchant ses tumultueux ennemis de pénétrer dans ses terres.

Mais les guerres épuisèrent le pays et le peuple qui se souleva, renversa son empereur, l’emprisonnant puis le condamnant finalement à mourir dans l’arène. Le peuple déclara la mise en place de la République, les hommes les plus influents de cette révolution furent les premiers sénateurs. Ce Sénat décida qu’un triumvirat serait placé à la tête du pays, prenant les décisions de manière conjointe avec les sénateurs et donc le peuple par leur intermédiaire.

Galeam est actuellement dirigé par un Triumvirat composé de l'Imperator Locuste Veturius Vespillo, l'Imperator Sulpicia Livius Anguis et le Consule Gaius Claudius Glaber.

Politique et administration

Depuis sa déclaration d’indépendance, Galeam est une nation unie, militairement forte sur terre comme sur mer. C’est un pays organisé, où chaque homme a une place particulière à tenir. La politique, l’administration, les règles rythment la vie de chaque homme en ces terres.

Ainsi concernant l’aspect politique du pays, les Consuls, appelés dans certains cas Imperator, dirigent la vie politique avec l’aide du sénat qu’ils consultent et écoutent parfois. Ils sont maîtres des cultes publics et du droit religieux. Aucun autre pouvoir ne vient limiter leurs droits dans le pays. Des accords et des partenariats choisis avec soin permettent d’être nommé Consul, à vie, en remplacement d’un Consul défunt.

Les Sénateurs gèrent les affaires quotidiennes de Galeam, ils rédigent les lois, les débattent, les votent et aident à gérer les finances du pays. Leur pouvoir est limité puisque soumis au bon vouloir des Consuls. Ils sont au nombre de trois cents. Il existe deux possibilités de devenir Sénateur : être élu par le peuple qui choisit ses représentants tous les cinq ans ou être nommé directement par l’une des grandes familles puissantes du pays, titre qui se transmet de plus en plus souvent au sein des mêmes familles.

​L’organisation militaire tient une place essentielle dans le pays. Son organisation est elle-aussi structurée de manière stricte, chacun connaissant son rôle et le respect qu’il doit à ses supérieurs. Les Légats dirigent une légion sous les ordres directs des consuls. Ils détiennent donc le plus haut grade de l’armée. Toutefois, si un légat venait à ne pas pouvoir remplir sa mission, un Tribun peut le remplacer.

Le Tribun est un officier supérieur qui peut être assigné à différentes tâches (diriger une partie d’un corps armé, être responsable des soldes, de l’approvisionnement…) sous les ordres directs des Légats et des Consuls.

Parmi les officiers de l’armée, le Centurion dirige les cohortes d’hommes sur les champs de bataille alors que les Optios forment et entraînent les troupes avant les combats. Sous leurs ordres, les Légionnaires forment l’ensemble de l’armée, nombreux possédant une spécialité utile en plus de ses talents au combat (cavalerie, infanterie, forces maritimes, soigneur ou guérisseur, scribes… )

Pour le reste de la population, les civils, trois possibilités existe. La plupart des hommes et des femmes du pays sont des Citoyens. Ils participent à la vie des cités, ont le droit de vote pour choisir les Sénateurs, peuvent être élus, exercer le métier de leur choix, y compris la prêtrise. Ils ont le droit à la propriété, de se marier, de faire appel à la justice. Ils ont cependant l’obligation de payer leurs impôts, de posséder leurs papiers d’identité et de se soumettre aux contraintes liées à leurs race s’il y en a, faire leur service militaire et participer aux cultes qui rythment les cités.

​Un petit nombre d’hommes et de femmes disposent d’un statut particulier, ce sont les Gladiateurs. Des hommes libres ou des esclaves achetés par le maître d’un ludus. Au sein de ce ludus, les hommes s’entraînent, apprennent à combattre, apprennent le fonctionnement de l’arène jusqu’à ce que le laniste, le maître des lieux décide de leur sort : quel combat les attend dans l’arène ou leur libération aussi parfois. Les combats dans l’arène sont rarement des combats à mort, leur but est de proposer un divertissement sportif. Seuls les lanistes ou des hauts dirigeants politiques peuvent décider de l’exécution d’un gladiateur par un autre, former de tels combattants est trop coûteux pour jouer sans réflexion avec leurs vies.

Enfin, le reste de la population se compose d’Esclaves au service des citoyens. Ils n’ont aucun droit et sont considérés comme de simples objets. Les raisons de tomber dans l’esclavage sont nombreuses... Un esclave peut être affranchi selon le bon vouloir de son maître. 

Population et société

Les Galeamiens forment un peuple uni, discipliné, appliqué. Ils ont su développé leurs talents guerriers en copiant et améliorant les techniques de combats de leurs adversaires.

Quand la guerre s’éloigne, ils prennent le temps, au sein de leurs cités, de développer leur maîtrise des arts : sculpture, peinture, architecture et littérature divertissent les citoyens au même titre que les jeux des arènes. À côté des artistes, leurs nombreux érudits firent progresser avec efficacité les connaissances en mathématiques, géométrie et en médecine également.

Par conséquent, l’architecture de leurs villes témoigne de leurs passions artistiques et de leurs connaissances techniques : de grandes colonnades de marbres blancs, d’imposantes statues magnifiquement sculptées et peintes avec talent, vestiges de l’influence de Kykladès avant le cataclysme.

Pour une raison encore inconnue, Galeam est l’un des pays les plus touchés par la corruption étrange et dangereuse qui gagne progressivement tout le continent. De plus en plus de femmes accouchent d’enfants mort-nés, des citoyens en forme sont subitement gagnés par la folie et la fièvre avant de succomber rapidement, des guerriers perdent tout contrôle et attaquent tous ceux à proximité, ennemis comme alliés. Nul n’était épargné.

 ​Les Consuls et les Sénateurs étaient d’accords : il fallait trouver une solution. C’est de Galeam que les premiers navires d’expédition à la recherche d’une nouvelle terre partirent. Ce furent leurs érudits qui s’intéressèrent en premier à cette nouvelle île mystérieuse où quelques navires auraient échoué. De nouvelles expéditions partirent dans des galères spécialement aménagées pour de longs trajets. Ils sentaient que là-bas se jouerait l’avenir de la République de Galeam.

Économie

Les empereurs ont rapidement su mettre en place une monnaie forte et utilisée par tous au sein du pays. La République, lors de sa création, a jugé opportun de conserver ce mode de fonctionnement. Tous les échanges se règlent donc avec la monnaie officielle, chaque marchandise ayant une valeur bien précise, pouvant évoluer au gré des accords commerciaux ou des besoins du pays. Les marchés des villes sont les meilleurs endroits pour se tenir au courant des prix des différentes denrées et se procurer tout ce que l’on veut, tant que l'on possède les deniers nécessaires.

Culture et religion

Le dieu le plus vénéré à Galeam est sans contexte Mehmnios. Les temples en son honneur sont nombreux dans le pays. Les érudits vénèrent en lui la sagesse qu’il représente. Les guerriers le respectent, bien conscient qu’ils seront sous sa garde lorsqu’ils tomberont à la prochaine bataille. Les artistes le vénèrent, espérant trouver l’inspiration dans sa sagesse. Tous reconnaissent son influence sur le monde.

Mais nombreux sont ceux qui honorent aussi Atrax, justifiant leurs actes guerriers et violents en appelant son nom. Malgré son statut particulier parmi les dieux, il conserve une place essentielle au sein de ce pays, d’immenses temples sont construits en son honneur, le plus impressionnant de tous étant situé dans la Capitale du pays.

La culture du pays est donc marquée par cette dualité entre les dieux à qui les hommes ont donné leur préférence. Entre la sagesse de Mehmnios et l’impulsivité d’Atrax, ils forment une nation crainte de tous, savante et prête à réagir face à toutes les possibilités.

Dans les cités du pays, les non-humains sont intégrés à la vie de la cité. Tout n’est là-bas que politique et rhétorique. S’ils sont capables de s’en sortir au milieu de cet univers de mensonge et de manipulation, ils ne dérangent pas. Toutefois, pour le calme de la cité, chaque citoyen dispose de papiers d’identité précisant la race à laquelle il appartient. Les lycans ont alors obligation de se présenter aux autorités afin de passer les nuits de pleine lune enfermés dans une cage. La cité tente par tous les moyens de contenir les excès de ces créatures en leur proposant des solutions adaptées grâce aux esclaves.

Les villes principales

La capitale est Samarobriva, une ville sacrée composée de temples aux dimensions gigantesques. Le principal, situé en haut du Mont Thermopilos, est dédié à Artax. La cité est un lieu de pèlerinage important dans le monde entier, les voyageurs venant prier leur dieu pour prouver leur foi.

Antalya est une ville située dans les grandes plaines, à l’ouest du pays. Elle est connue pour son arène majestueuse qui abrite plusieurs fois par an des jeux en l'honneur des dieux de la cité, réputés dans tout le pays. Ses rues sont donc l'occasion de voir de nombreux ludus résonnant des cris de leurs gladiateurs qui s'entraînent.

Xanthos est située proche du mur d’Hélènos au nord. C'est cité fortifiée et militaire, cité d'origine de la Consule Locuste Veturius Vespillo, crainte jusqu'à Vezelay à cause de sa réputation d’empaleuse sans cœur.

Noviodunum est une ville portuaire à l’est de Galeam, bordant la mer de Jade. Là-bas sont assemblées les impressionnantes galères de guerre du pays, nommées Trières. Pour ces chantiers immenses, des esclaves et des repris de justice sont exploités pour construire puis faire avancer les navires. C’est une ville qui entretient quelques échanges commerciaux avec Shima. Mehmnios y est particulièrement honoré. 

Quelques autres villages : Milo, Lamia, Gortyne, Calatia, Eretum, Aquae, Glanum, Nicaea, Vorgium…

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